Morbius #1 : The Living Vampire
Scénario : Joe Keatinge
Dessin : Rich Elson
Présentation et Synopsis
Morbius est un personnage qui a déjà de la bouteille, créé par Roy Thomas et Gil Kane, il est apparu pour la première fois dans le comic The Amazing Spider-Man #101 (Octobre 1971).
J’attendais ce premier numéro avec intérêt je trouve en effet l’idée intéressante deréintroduire un personnage et en fasant une série « ongoing » (même si je ne parierai pas sur sa durée de vie…).
On retrouve donc notre vampire en cavale (rappelez-vous il s’est évadé du Raft dans Amazing Spider-Man 699.1)et tentera de reconstruire une nouvelle vie à Bronxville une ville bien moins glam que Manhattan !
L’histoire est divisée en 2 parties, la première explique qui est Morbius et surtout ce qu’est un vampire, le Keatinge arrive à nous amuser avec les clichés « vampiresque » que l’on collectionne encore plus depuis la sortie de cette bouse de Twilight (bon je ne vais pas m’étendre sur le sujet). On apprend aussi un peu plus sur l’enfance du héros.
La seconde partie s’attarde vraiment sur la vie de Morbius dans sa nouvelle ville et les rencontres qu’il va y faire
Mon Avis
Alors, même si le scénario est assez convenu on ne s’ennuie pas durant la lecture, ça se laisse lire, l’histoire est découpée de façon à commencer l’histoire par la conclusion (je pense de l’arc), même si ce procédé a été mainte fois utilisé ça fonctionne et ça pose certaines questions, dont celle de la durée de la série…
Au niveau du dessin je trouve ça un peu « raide » sans grande personnalité, attention je n’ai pas dis qu’il faut se mettre à dessiner comme Dillon (huhu) ou encore Coipel, mais je trouve que Elson dans l’ensemble manque de personnalité, trop aseptisé, trop propre pour un vampire, contrairement à la cover qui elle, pour le coup envoie (de mon point de vue) du bois !
En Conclusion
Dans l’ensemble j’ai trouvé ce comics assez distrayant, il ne faut pas oublier que c’est un numéro 1 et que le scénariste plante l’intrigue, et commence déjà à nous peindre les personnages qui graviteront autour du vampire.
On voit bien que le Keatinge s’éclate et à finalement le champ libre pour nous amener Morbius le plus loin possible peut-être jusqu’à un numéro 700 (sic) ?